/ Cameroun :"Les TIC sont un levier de croissance économique"
De plus en plus dans le monde moderne, les catastrophes naturelles et technologiques surviennent brusquement, emportant avec elles de nombreuses vies humaines et provoquant des pertes financières considérables.
C'est pour susciter la prise de conscience des pays de la sous région Afrique centrale sur l'impact des télécommunications et TIC dans la prévention et la gestion des catastrophes que ce séminaire atelier a été conjointement organisé à Yaoundé du 30 mai au 1er juin dernier, par l'Union internationale des télécommunications et le ministère camerounais des Postes et Télécommunications. D'abord, l'idée que les évènements désastreux peuvent être prévenus n'est pas nouvelle. Les hommes peuvent faire recours aux systèmes de télécommunications soigneusement installés sur les zones à risques et convenablement coordonnés en vue d'identifier les dangers, donner l'alerte et solliciter les acteurs locaux et internationaux de secours. Comme nous le constatons au niveau de la téléphonie mobile, l'évolution est perceptible. Nous sommes passés de 5 000 abonnés en 1999 à 3 000 000 d'abonnés en 2007, avec une gamme énorme de services allant des services d'information aux services modernes à valeur ajoutée comme le GPRS ou l'Internet sur les téléphones mobiles?
Les télécommunications et l'Internet sont des outils qui favorisent le développement. L'Etat camerounais en a pris conscience par l'adoption de la stratégie sectorielle des télécommunications et des technologies de l'information et de la communication, qui est un cadre de cohérence des actions de développement du secteur. Cette stratégie fait de la généralisation de l'accès à l'infrastructure nationale de l'information et de la communication un pilier central. Cette généralisation devra commencer par la promotion des accès collectifs au travers des télé-centres communautaires polyvalents, des centres multimédias dans les établissements secondaires, la connexion large bande des institutions universitaires et, le réseau interministériel. Cette généralisation devra se poursuivre par l'offre d'un accès individuel large bande à moindre coût et de qualité à travers le développement du backbone national en fibre optique, la numérisation de tous les centraux téléphoniques et la densification des réseaux d'abonnés. Ceci en vue de permettre d'ici 2015 l'offre d'un accès à 2Mbits à tous les potentiels demandeurs des chefs lieux des départements du pays. Par ailleurs, la maîtrise des coûts devra se poursuivre non seulement grâce à l'augmentation de l'offre des services de télécommunications, mais également au travers d'une réglementation adéquate et vigilante.
C'est pour susciter la prise de conscience des pays de la sous région Afrique centrale sur l'impact des télécommunications et TIC dans la prévention et la gestion des catastrophes que ce séminaire atelier a été conjointement organisé à Yaoundé du 30 mai au 1er juin dernier, par l'Union internationale des télécommunications et le ministère camerounais des Postes et Télécommunications. D'abord, l'idée que les évènements désastreux peuvent être prévenus n'est pas nouvelle. Les hommes peuvent faire recours aux systèmes de télécommunications soigneusement installés sur les zones à risques et convenablement coordonnés en vue d'identifier les dangers, donner l'alerte et solliciter les acteurs locaux et internationaux de secours. Comme nous le constatons au niveau de la téléphonie mobile, l'évolution est perceptible. Nous sommes passés de 5 000 abonnés en 1999 à 3 000 000 d'abonnés en 2007, avec une gamme énorme de services allant des services d'information aux services modernes à valeur ajoutée comme le GPRS ou l'Internet sur les téléphones mobiles?
Les télécommunications et l'Internet sont des outils qui favorisent le développement. L'Etat camerounais en a pris conscience par l'adoption de la stratégie sectorielle des télécommunications et des technologies de l'information et de la communication, qui est un cadre de cohérence des actions de développement du secteur. Cette stratégie fait de la généralisation de l'accès à l'infrastructure nationale de l'information et de la communication un pilier central. Cette généralisation devra commencer par la promotion des accès collectifs au travers des télé-centres communautaires polyvalents, des centres multimédias dans les établissements secondaires, la connexion large bande des institutions universitaires et, le réseau interministériel. Cette généralisation devra se poursuivre par l'offre d'un accès individuel large bande à moindre coût et de qualité à travers le développement du backbone national en fibre optique, la numérisation de tous les centraux téléphoniques et la densification des réseaux d'abonnés. Ceci en vue de permettre d'ici 2015 l'offre d'un accès à 2Mbits à tous les potentiels demandeurs des chefs lieux des départements du pays. Par ailleurs, la maîtrise des coûts devra se poursuivre non seulement grâce à l'augmentation de l'offre des services de télécommunications, mais également au travers d'une réglementation adéquate et vigilante.
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