Algérie : L’Autorité de régulation des postes et des télécommunications (ARPT) fait l’objet de critiques.
Invitée, hier, par l’Ugcaa, Mme Houria Lougar de la direction de la concurrence au ministère du Commerce, a fortement « critiqué » cette autorité de régulation sectorielle qui, selon elle, est « directement la plus concernée par la régulation de ce marché ». Ce n’est pas la première fois que l’Arpt se retrouve sous les critiques. En effet, le dernier conflit l’ayant opposée à Orascom Télécom Algérie, à propos de l’offre tarifaire Allo-OTA, n’est pas prêt de connaître son épilogue, sans oublier le cas de Lacom relevant d’Egypte Télécom qui a réduit son investissement de 20 millions de dollars sur les 62 prévus initialement. Même le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, M.Boudjemaâ Haïchour, ne l’a pas épargnée.
Il faut que « l’Arpt respecte le cadre réglementaire qui régit le marché concurrentiel des TIC au regard de la loi, mais aussi au regard des engagements des opérateurs. Nous demandons à l’Arpt de ne pas aller dans un sens rigide et essayer d’être flexible et souple dans ses décisions, tout en se gardant de respecter la loi, en approfondissant l’étude des segments tarifaires des opérateurs quitte à avoir recours à une expertise étrangère »
Il faut que « l’Arpt respecte le cadre réglementaire qui régit le marché concurrentiel des TIC au regard de la loi, mais aussi au regard des engagements des opérateurs. Nous demandons à l’Arpt de ne pas aller dans un sens rigide et essayer d’être flexible et souple dans ses décisions, tout en se gardant de respecter la loi, en approfondissant l’étude des segments tarifaires des opérateurs quitte à avoir recours à une expertise étrangère »
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