Vente liée : Microsoft entendu par la Commission européenne le 3 juin
Après avoir répondu par écrit fin avril à la mise en cause de
Cette pratique fut dénoncée à l'origine par Opera Software qui avait saisi les instances européennes en 2007. Dans le cours de la procédure, Google, Mozilla et le comité européen pour les systèmes interopérables (ECIS) dont IBM, Adobe, Nokia, Red Hat et Sun sont membres, ont tous été nommés tierces parties.
L'une des options évoquées par les autorités européennes serait d'obliger Microsoft à préinstaller d'autres navigateurs que le sien dans Windows.
Un boulevard pour Google
Selon des fuites révélées par le Financial Times, Microsoft compterait axer sa défense sur l'argument central suivant : l'intervention de
Pourquoi ? Parce que les navigateurs concurrents, Firefox et Opera notamment, ont des accords pour utiliser Google comme moteur de recherche par défaut. Sans parler de Chrome, le navigateur maison de Google. Microsoft aurait également l'intention de faire valoir une infraction à sa propriété intellectuelle sur Windows.
ZDNet France
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