Ouvrir un espace d'information et de veille stratégique en Afrique sur les télécommunications et les TICs. Promouvoir les échanges entre les acteurs qui s’intéressent à la convergence, le droit, l’économie, la veille concurrentielle, les réseaux, la stratégie des opérateurs et l'intelligence économique en télécommunications et TIC. Echanger et s'informer pour suivre l'évolution des communications électroniques qui sans cesse subissent la vitesse du changement.

31 août 2010

VOD : Youtube prêt à proposer la location de films ?


Google serait en pourparlers avec des studios de cinéma pour proposer la location de films sur Youtube, en même temps que la sortie DVD. Le service ouvrirait à la fin de l'année.



Après les classiques gratuits, les nouveautés payantes. Selon le Financial Times, Google discuterait avec « les plus grands studios hollywoodiens » autour d'un service de location de films sur Youtube.

Selon le journal, les sociétés seraient en pourparlers depuis plusieurs mois. Les négociations se seraient accélérées ces dernières semaines à cause de l'intensification annoncée de la concurrence dans la distribution de films en ligne, notamment le nouvel Apple TV.

Cinq dollars pour les nouveautés

Google tablerait sur un lancement mondial à la fin de l'année. Le service de VoD serait d'abord déployé aux Etats-Unis avant un lancement mondial. Les nouveautés y seraient accessibles lors de leur lancement en DVD et leur mise à disposition sur iTunes et Amazon.com au prix de cinq dollars.

La perspective d'un service de location de films sur Youtube n'est pas nouvelle. Les premières rumeurs datent de septembre 2009, où étaient évoquées des négociations avec LionsGate, MGM, Sony et Warner Bros, une version mobile et un prix par visionnage de 3,99 dollars.

Google le testerait d'ailleurs depuis janvier. Une page dédiée était même furtivement apparue en avril, avant d'être retirée.

Presqu'en guise de démonstration, Youtube a lancé la semaine dernière un répertoire « Movies ». Une collection de 400 films visionnables gratuitement, allant de Bollywood à George A. Romero en passant par Jacky Chan est disponible. De la bonne grosse série B pour les amateurs du genre. Pour les autres...

Un tel service permettrait à Youtube d'étoffer ses sources de revenus qui sont pour le moment dépendantes à 100% de la publicité.

hightech.nouvelobs.com

Comment valoriser une infrastructure télécom ?



Les opérateurs vont investir des milliards dans la fibre optique, et donc remettre de l’argent dans un patrimoine déjà conséquent. Dans ce contexte, comment optimiser la valeur de son infrastructure ?

Qu'est-ce qu'une infrastructure télécom ?


La réponse est simple : il s'agit de l'ensemble des équipements physiques qui constituent le réseau. On y retrouve les équipements actifs et passifs, les câbles, la fibre, les biens immobiliers, le génie civil, les stocks de matériel, ...


Comment la valoriser ? Ici, les choses se compliquent. La valorisation passe par la connaissance, non pas de la «réalité physique» de l'infrastructure, mais de l'usage que l'on peut en faire. Et cette connaissance passe par une autre connaissance : celle du patrimoine télécom.

Quelle est la différence entre infrastructure et patrimoine télécom ? Le patrimoine est l'infrastructure additionnée de la partie immatérielle de l'activité de l'entreprise : les connaissances et le savoir-faire attachés à la partie physique, les informations et méthodes nécessaires à la gestion, la comptabilité et enfin le déploiement et la maintenance de l'infrastructure.

Pourquoi faut-il connaître le patrimoine pour valoriser l'infrastructure ?
Pour la même raison qu'être propriétaire d'une voiture, alors que l'on ne sait plus si le plein est fait, où elle est garée, et que l'on vient de perdre ses papiers ne permet pas de valoriser le véhicule... Ni en l'utilisant, ni en le revendant.


Cette analogie souligne un fait important : la connaissance du patrimoine n'a pas d'intérêt en soi. C'est son usage au profit de l'entreprise et de ses clients qui permet de valoriser l'infrastructure. En plus de connaître, il faut savoir utiliser.
Pour connaître, il faut passer par la constitution et l'enrichissement d'un référentiel. Il sera utilisé pour les études préparatoires, le suivi de projet, les choix d'investissement, les anticipations technologiques, etc.


Pour utiliser - et donc valoriser - son réseau, il faut des outils adaptés. Les logiciels de gestion classiques sont efficaces pour la partie physique, mais ne conviennent pas à la gestion immatérielle de l'infrastructure, à l'analyse et à la prise de décision.

Il faut pour cela mettre en place des solutions «d'Infrastructure Knowledge Management». Ce sont elles qui permettent à l'opérateur de satisfaire la demande croissante en débit et en nouveaux services. Ce sont elles qui répondent aux questions sur les parties immatérielles avec le plus de clarté possible.


Ce sont elles, encore et toujours, qui donnent l'assurance que l'infrastructure saura répondre aux prochains défis imposés par le marché. Comment le font-elles ?


En mettant en évidence les points faibles de l'existant, en construisant des scénarios d'investissement concurrents, en optimisant la maintenance de l'existant et en planifiant le déploiement des investissements. Bref, ce sont elles qui rendent possible la mise en oeuvre la stratégie de l'entreprise, avant la concurrence.


www.journaldunet.com

Facebook attaque Teachbook pour l'usage du mot « book »

Juridique - Encore en phase de développement, Teachbook est un réseau social destiné aux enseignants. Facebook craint que le mot "book" ne devienne un terme générique assimilé aux réseaux sociaux.


Facebook défend son nom de marque et plus particulièrement le terme « book » ; le site de réseautage a décidé d'attaquer en justice Teachbook. Il reproche à ce futur réseau social dédié aux enseignants de se servir du suffixe « book » pour profiter de la popularité de Facebook en créant un rapprochement dans l'esprit des utilisateurs.


Les avocats de Facebook avancent qu'octroyer à Teachbook la possibilité d'utiliser ce suffixe ferait perdre à la marque son avantage distinctif. Cela créerait également une jurisprudence grâce à laquelle le mot « book » pourrait devenir un terme générique pour évoquer une communauté en ligne ou des services de réseautage.


Pas de compromis possible

Teachbook a assuré qu'il ne cherchait pas à tirer profit de la popularité de Facebook. « Nous ne savions pas que Facebook possédait l'Internet et le mot "book" » a déclaré son porte-parole.

En savoir plus sur Facebook dans l'Annuaire IT


Le projet Teachbook a vu le jour l'année dernière. Facebook a alors immédiatement contesté son nom. Teachbook pensait pouvoir trouver un compromis jusqu'à ce que tombe la plainte. Ses dirigeants ont décidé de ne pas céder et de se battre. Le site ne sera opérationnel qu'à partir de l'année prochaine ; il fournira des outils de communication aux enseignants en leur permettant d'être en contact avec les étudiants et les parents et de diffuser des cours. (Eureka Presse)



www.zdnet.fr

La Poste choisit SFR pour lancer son offre de téléphonie mobile



La Poste et SFR vont créer une filiale commune pour structurer le futur MVNO qui bénéficie d'entrée d'un réseau de distribution physique à travers ses bureaux de poste.


Et un nouvel MVNO, un! La Poste a trouvé son partenaire de référence dans la téléphonie mobile : SFR. Le 26 août, le conseil d’administration du groupe La Poste a donné son feu vert pour engager des négociations exclusives avec l’opérateur télécoms français (groupe Vivendi).

La Poste avait initialement dévoilé ce projet d’investir le marché de la téléphonie mobile à la mi-mars sous le statut de MVNO (opérateur mobile virtuel). Si Free Mobile fut un temps évoqué, c'est finalement SFR qui a remporté le marché parmi les opérateurs de réseau mobile.

Sous quel angle? SFR a vocation à accompagner le groupe postal dans sa volonté de concevoir une offre de téléphonie mobile sous sa propre marque. Les deux groupes partenaires vont ainsi créer une filiale commune détenue majoritairement par La Poste (51%).

Logistiquement, La Poste s’appuyera sur ses 11.000 bureaux physiques éparpillés sur le territoire pour mettre en avant cette nouvelle offre de téléphonie mobile. Et vendre ses cartes de paiements qu'elle distribue déjà pour les opérateurs tiers (120 millions en 2009). Les offres du transporteur tourneront autour de formules pré-payées et post-payées «simples». SFR apportera de son côté l'infrastructure technique de téléphonie mobile et le financement.

Le transporteur espère séduire 1,5 à 2 millions de clients d'ici les trois à quatre prochaines années. Un chiffre pour le moins ambitieux quand on sait que la quinzaine de MVNO en France ne séduit que 3,5 millions de personnes (5,93% du marché de la téléphonie mobile).

Avec son offre de téléphonie mobile, La Poste poursuit donc sa diversification. Notamment pour compenser la baisse de l'activité de distribution du courrier. A priori, l’offre mobile de La Poste sera lancée dans le courant du premier semestre 2011.

www.ITespresso.fr

Lutte contre la falsification des agréments :La nouvelle bataille de l'ARPT




L’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) a émis une décision suite à la délibération du conseil lors de sa réunion du 15 août portant nouveau modèle de l'agrément relatif aux équipements terminaux de télécommunications.


Ainsi, il est enjoint aux détenteurs d'agréments délivrés par l'ARPT, encore en vigueur à la date d'effet de la décision, de «lui restituer l'original desdits agréments, contre délivrance par les services de cette dernière, sans frais supplémentaires, d'un nouvel agrément établi selon la nouvelle formule qu'elle a adoptée».

Les détenteurs d'agréments sont tenus de les échanger au niveau du siège de l'ARPT contre des certificats d'agrément établis selon le nouveau modèle arrêté par l'ARPT.

Seuls les certificats d'agrément établis selon le nouveau modèle sont valides. Les anciens certificats d'agrément, qui n'auront pas été échangés, ne feront plus foi des droits du détenteur à l'égard des tiers. Si l'ARPT a eu recours à cette mesure extrême, c'est pour une raison bien simple : elle a décelé des risques croissants de falsification des formulaires d'agrément délivrés par ses services.

D'où la nécessité d'introduire des améliorations auxdits formulaires à même de les prémunir contre de tels risques. La dernière affaire en date a en effet défrayé la chronique. Le directeur général de Nokia Algérie a été mis en détention provisoire. Son nom a été cité dans l'affaire de falsification de documents liés à la commercialisation des téléphones portables en Algérie.


Les faits de cette affaire remontent au début de l'année, suite à une enquête diligentée par les services des Douanes au niveau de l'aéroport d'Alger, sur l'importation illégale des lots de téléphones portables de la marque citée. En effet, les responsables de Nokia Algérie ne détenaient pas les agréments de l'ARPT, qui leur permettaient de procéder à l'importation de portables.

Les enquêteurs ont constaté que la compagnie a importé plusieurs lots de téléphones portables, en utilisant des documents falsifiés, découverts grâce à la vérification de tous les dossiers. Suite à ce scandale, qui a entaché la réputation du fabricant finlandais dans un marché algérien très concurrentiel, Nokia Algérie a été sommée par l'ARPT de payer une amende de 80 milliards de centimes.

Incontestablement, l'ARPT veut assainir la situation : c'est un signal fort donné par l'autorité pour mettre de l'ordre dans un secteur qui commençait à lui échapper. Elle se réapproprie ainsi sa mission de contrôle après avoir donné l'impression depuis un bout de temps d'être effacée de la scène, voire impuissante à réagir.

Or, la loi 2000-03 lui donne une mission précise, notamment dans l'article 13 (6e tiret), celle «d'octroyer les autorisations d'exploitation, d'agréer les équipements de la poste et des télécommunications et de préciser les spécifications et normes auxquelles ils doivent répondre».

www.elwatan.com

Paul Allen poursuit 11 grands noms de l'Internet pour violation de brevets


Juridique - Le cofondateur de Microsoft a engagé des poursuites via sa société Interval Licensing contre plusieurs entreprises phares telles qu’AOL, Apple, eBay, Facebook, Google ou Yahoo.


AOL, Apple, eBay, Facebook, Google, Netflix, Office Depot, OfficeMax, Staples, Yahoo et YouTube...C'est à des poids lourds que s'attaque Paul Allen ; sa société Interval Licensing a déposé une plainte devant un tribunal de Seattle pour violation de quatre brevets qu'elle dit détenir

.


Ils portent sur des technologies de notification et de recherche utilisées par les sites Internet et notamment des sites marchands. Il s'agit entre autres des fenêtres pop-up qui apparaissent sur un site (ex. le cours d'une action), des suggestions de liens complémentaires concernant un article ou encore des vidéos annexes qui s'affichent sur les bandeaux des sites.


Ces brevets ont été développés dans les années 90 par Interval Research, société cofondée par Paul Allen ; ils ont ensuite été repris par Interval Licensing.

Une plainte sans fondement selon Facebook

« Nous pensons que cette plainte est complètement dénuée de fondement et nous la combattrons vigoureusement », a déclaré un porte-parole de Facebook.


Google a aussi réagi en estimant que « cette plainte contre certaines des entreprises américaines les plus innovantes reflète une tendance malheureuse de gens qui essaient d'entrer en concurrence dans les tribunaux plutôt que sur le marché.


L'innovation, et non les poursuites, est la meilleure manière d'amener au marché les produits et services dont bénéficient des millions de gens dans le monde ».


De son côté, Interval Licensing rappelle qu'elle ne revendique pas de brevets déposés par d'autres sociétés. « Il s'agit de brevets développés par et pour Interval » a expliqué un porte-parole de l'entreprise. La plainte réclame des dommages ainsi que l'interdiction d'utiliser ces brevets. (Eureka Presse)



www.zdnet.fr

Le nouveau président du réseau des CMC pour une adaptation aux exigences du métier


Le nouveau président du réseau des Centres multimédias communautaires (CMC) Famakhan Dembélé a déclaré qu’il compte enclencher ‘’une véritable chaine de renforcement de capacités des personnels des CMC’’, pour les amener à s’adapter et à répondre aux défis de la communication ainsi qu’aux ‘’nouvelles exigences du métier’’.


Pour ce faire, le directeur de la radio communautaire de Kédougou a dit qu’il est décidé à ‘’s’appuyer sur le partenariat entre les CMC, d’abord, et entre les CMC et l’extérieur, d’autre part’’.

Il s’agit d’asseoir ‘’la base institutionnelle des CMC’’, a soutenu, dans un entretien avec le correspondant de l’APS, le tout-nouveau président des CMC, élu pour un mandat de 2 ans à la tête de cette structure.

‘’On perd beaucoup en refusant de valoriser tout le travail abattu’’ par les CMC, a-t-il dit, soulignant que le nouveau bureau va capitaliser les résultats obtenus par ceux-ci pour travailler dans le sens de la réduction du gap numérique et pour l’accès de tous à l’information.

Selon lui, il est nécessaire de s’atteler à ‘’vulgariser le statut des CMC auprès des pouvoirs publics’’, pour que les autorités publiques puissent l’intégrer dans la politique communicationnelle du pays.

Mais au préalable, il faut ‘’faire la promotion des CMC en les rendant visibles dans le paysage médiatique sénégalais’’, a-t-il indiqué, se disant convaincu que les CMC font le même boulot que les autres structures de communication. Sur cette base, des échanges d’expériences doit exister entre eux.

Le nouveau président des CMC a par ailleurs suggéré que les CMC puissent harmoniser leurs méthodes d’intervention, afin que le label soit ‘’uniforme’’ dans les 24 structures existantes à l’échelle du pays.

M. Dembélé a été élu jeudi dernier à la tête des CMC, pour un mandant de 2 ans, à l’issue d’une assemblée générale qui s’est tenue dans la salle de conférence du CESTI. 37 voix se sont portées sur sa personne, contre 3 pour son adversaire de Diourbel Momar Talla Guèye.

Militaire devenu enseignant avant d’embrasser une carrière de journaliste, Ibrahima Famakhan Dembélé a passé plus de 15 ans dans le milieu de la presse. Il a notamment travaillé à radio Dunyaa Kédougou et Kédougou FM dont il est devenu le directeur. Il sert également comme correspondant de la RTS.

Avec le l’UNESCO/BREDA, de l’Union des radios communautaires (URAC), il a dit que son ambition est de faire en sorte que les radios communautaires deviennent plus rentables afin de générer des retombées au profit des communautés de base.

www.aps.sn

Lancement prochain d'un nouveau réseau GSM en Mauritanie


Le directeur général de Chinguitel (filiale de la société soudanaise Sudatel), Abderahmane Mohamed Ahmed Ethmane, a annoncé le lancement d'un nouveau service GSM à partir du mois de septembre prochain, au cours d'une conférence de presse, jeudi à Nouakchott.

Chinguitel, signale-t-on, est le troisième opérateur de téléphonie mobile sur le marché mauritanien, mais le seul à utiliser le réseau CDMA avec la technologie du "3G" ou visiophone.

Le lancement prochain d'un réseau Chinguitel GSM "vise à mieux servir la clientèle et ouvrira de nouvelles perspectives de services, avec de nombreuses retombées positives", a affirmé le directeur général.

www.africanmanager.com

26 août 2010

Google officialise la VoIP dans Gmail aux États-Unis et au Canada



Technologie - Le service permet de passer des appels gratuits vers n’importe quel téléphone aux États-Unis et au Canada et à tarifs préférentiels vers d’autres pays.


Google n'a pas tardé pour introduire officiellement la fonction d'appels téléphoniques IP dans Gmail qu'il testait depuis quelques jours. Le service est intégré dans le module de chat du webmail après l'installation d'un plug-in disponible sur cette page. Une fonction pour le moment disponible seulement aux États-Unis et au Canada.


Les appels vers n'importe quel téléphone dans et entre ces deux pays sont gratuits, « au moins jusqu'à la fin de l'année » précise Google.

2 cents la minute pour la France

Les appels internationaux seront facturés à des tarifs réduits pouvant aller par exemple jusqu'à 0,02 dollars la minute pour la France. Les utilisateurs qui disposent d'un compte Google Voice peuvent se servir du numéro de téléphone qui leur a été attribué pour recevoir des appels et s'identifier lorsqu'ils passent un coup de fil depuis Gmail.


Google indique qu'il compte élargir ce service à d'autres pays mais ne donne aucune échéance.



www.zdnet.fr

Faut-il avoir peur de Google Street View ?


Très populaire, le service de cartographie de Google fait l’objet de vives critiques. En cause : le géant de l’Internet a collecté des données personnelles de dizaines d’internautes français.



Après la gloire, les déboires. Lancé en octobre 2008, le service de cartographie en vue réelle Google Street View* est en pleine tempête. Après s’être attiré les foudres de l’Allemagne, de l’Angleterre et de l’Espagne, c’est au tour de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) de s’en prendre au géant de l’Internet.


Dans un communiqué mis en ligne vendredi dernier, l’autorité indépendante s’agace du retour en France — le même jour — des voitures Google chargées de photographier les rues de nos villes. Elles circulent notamment à Lille, Angoulême et en Côte d’Or.


Un retour « prématuré » alors que la multinationale fait toujours l’objet d’une enquête de la Cnil pour avoir collecté des données personnelles d’internautes « de façon illicite ».

Un précédent en Allemagne

C’est l’équivalent allemand de la Cnil qui révèle l’affaire en avril. Les « Google cars » sont suspectées de recueillir courriels et mots de passe via les modems sans fil des internautes. Un soupçon confirmé par Google, qui évoque une « erreur technique ».


Le 26 mai, la Cnil met en demeure le géant du Web de lui fournir copie des informations collectées. La firme californienne s’exécute, immobilise ses voitures françaises, et fait retirer les installations incriminées. Pour Google, l’affaire est close. Mais la Cnil assure que ses investigations « ne sont pas terminées ».


Si la Cnil ne souhaite pas davantage commenter l’affaire, Google France avoue « ne pas comprendre » ces réserves. « L’erreur a été corrigée, et toutes les données collectées, dont le volume correspond à un gros disque dur, ont été transmises à la Cnil », explique une porte-parole.


Reste que ce n’est pas la première fois que l’autorité s’en prend au service de cartographie : système de floutage des visages imparfait, intérieurs de certains domiciles visibles de tous. En 2009, une dizaine de plaintes ont été enregistrées par la Cnil. Sans suites judiciaires pour le moment.


* http://maps.google.fr


www.leparisien.fr

Les appels téléphoniques bientôt dans Gmail ?


A mi-chemin entre Google Talk et Google Voice, cette fonction actuellement en test permettrait d'appeler et d'être appelé sur un numéro de téléphone directement depuis sa boîte de réception.



Nos confrères américains de CNET ont appris que Google testait actuellement une fonction permettant de passer d’authentiques coups de fil directement depuis Gmail. L’appel s’effectuerait depuis l’interface de Google Chat, disponible sur le côté gauche de la boîte de réception.


Dans cette application, très ressemblante à Google Voice, il sera possible d’appeler et d?être appelé. Reste à savoir si ce service de VoIP sera intégré dans Google Talk (qui propose du PC à PC), ou s’il s?agit d?une version allégée de Google Voice, disponible aux Etats-Unis. Pour l’instant, en tout cas, ce sera disponible depuis Google Chat. Difficile de s?y retrouver? (EP)

http://hightech.nouvelobs.com

FRANCE TELECOM : Orange lance sa tablette pour contrer l'iPad



Orange, filiale de France Télécom (FTE.FR), compte lancer une tablette électronique fonctionnant avec Android, le système d'exploitation gratuit de Google (GOOG) et construite par un équipementier asiatique, rapporte Les Echos dans son édition de jeudi.


Elle devrait coûter moins de 250 euros nue, contre 599 euros pour l'iPad 3G le moins cher. Orange espère rééditer le succès de son smartphone Boston, qui n'est pas vendu en France, explique le journal.

Site Internet: http://www.lesechos.fr

www.zonebourse.com

25 août 2010

SFR offre des rabais à ses meilleurs clients


L'opérateur de télécommunications part à la conquête des familles. Deux mois après avoir lancé son offre « quadruple play » (Internet + télévision + téléphone fixe + mobile), il propose un rabais aux foyers disposant d'abonnements multiples.

La réduction peut atteindre 20 % de la facture totale. C'est à la fois un moyen supplémentaire de fidéliser le client, et une invitation à s'équiper plus chez SFR. Le groupe espère compenser ainsi le coût des promotions.

www.lesechos.fr

Octroi de la licence 3G à Free Mobile : Bruxelles ne voit pas de problèmes



La Commission européenne "n'a pas l'intention de poursuivre l'affaire" des conditions d'attribution de la 4ème licence 3G. Mais les trois plaignants (Orange-SFR-Bouygues Telecom) ne relâchent pas la pression.


La Commission européenne devrait approuver les conditions d’octroi de la quatrième licence 3G à Free Mobile.

Ce qui aboutirait au rejet des plaintes d’Orange, de SFR et de Bouygues Telecom qui estimaient que cette licence avait été attribuée à un prix bradé (240 millions d’euros).

Selon les propos recueillis par l’AFP, Amelia Torres, la porte-parole de la Commissionla Commission a informé ces entreprises de son analyse préliminaire et donc de son intention de ne pas poursuivre l’affaire”. européenne pour les questions de concurrence, confirme que

Le dossier n’est pas clos pour autant. “Nous examinons à l’heure actuelle la réponse que l’on a obtenue des entreprises concernées pour voir si elle est de nature à nous faire changer d’avis ou si l’on confirme qu’il n’y a pas matière à enquête.”

Parallèlement, une procédure a été initiée sur cette question par le même trio d’opérateurs auprès du Conseil d’Etat.

Orange-SFR-Bouygues Telecom estiment que la délivrance de la quatrième licence 3G revient à une “aide d’Etat faussant la concurrence”.

Au début des années 2000, ils ont acquis la possibilité de monter des réseaux 3G en payant cher leurs licences d’exploitation UMTS (3G).

Le prix initial pour France Telecom/Orange et SFR était fixé à 4,95 milliards d’euros.

Puis le niveau de redevance est redescendu à 619 millions d’euros lorsque Bouygues Telecom s’est engagé à son tour dans la 3G en 2002.

www.itespresso.fr

Intel et Nokia unis dans la 3D et les terminaux nomades



Installé en Finlande, l’Intel and Nokia Joint Innovation Center servira de pôle R&D commun orienté "expériences utilisateurs nomades", 3D et OS mobile MeeGo.

Intel, Nokia et l’université finlandaise d’Oulu inaugurent l’Intel and Nokia Joint Innovation Center dans le centre-ouest du pays.

Au démarrage, une vingtaine de chercheurs vont travailler sur des concepts de “nouvelles expériences utilisateurs nomades attractives”, notamment en exploitant le filon de la 3D et l’holographie.

Les activités de recherche du nouveau labo ont commencé courant août, selon Silicon.fr.

Fort de leur collaboration autour du système MeeGo d’exploitation libre pour terminaux mobiles, Intel et Nokia vont approfondir leurs recherches open source dans ce premier laboratoire en commun installé en région scandinave.

“La communauté MeeGo est active et dynamique”, a déclaré Martin Curley, responsable des laboratoires Intel en Europe, selon les propos recueillis par Reuters.

Rappelons que MeeGo est un projet de fusion de deux systèmes d’exploitation (Maemo de Nokia et Moblin d’Intel) dévoilé en février dernier.

www.itespresso.fr